Livres

Plongée sans frontières

Pour préparer vos voyages plongée ou rêver de destinations exotiques. Après plus de 2000 plongées effectuées dans le monde, Henri Eskenazi vous propose dans ce livre près de 80 destinations parmi les plus courues du globe. Magnifiquement illustré par 2000 photographies terrestres ou sous-marines, cet ouvrage de référence vous conduira dans l’univers magique de l’immense espace aquatique qui nous entoure et qu’il faut protéger. Avec de nombreux conseils pratiques sur la plongée et le voyage, ce livre s’adresse à tous les passionnés de plongée débutants et confirmés, à tous ceux qui rêvent de découvrir le monde sous-marin, mais aussi aux touristes globe-trotters, aux amateurs de beaux livres ou de sensations d’ailleurs. Bons voyages.

Le Conteur d'O

Le « Conteur d’O » est une histoire d’amour. La preuve : « O aime l’eau et l’eau le lui rend bien… » C’est un hommage à l’eau, une révérence à la nature où, du rêve à la réalité, la mer nous dévoile une partie de ses secrets afin de mieux l’aimer. O est une partie de nous-mêmes, aux moments les plus intimes. Le texte coule ici entre les photographies pour dégouliner de bonheur et les images rythment les phrases comme un ruissellement de mots, une houle apaisante. Les poissons y jouent un rôle prépondérant et nous emportent dans un tourbillon de quiétude. Ce message à la vie est, telle l’ascension d’une bulle, un conte moderne imbibé de tous les espoirs. A boire sans modération !

Instants de survie

Amant de la nature et passionné de l’eau, l’auteur se plonge ici dans la notion d’espace-temps : son héros, un simple chien de traineau, voyage par la pensée avec beaucoup de fraicheur et de fantaisie. Quelquefois des incertitudes… A boire par petites gorgées pour ne pas couler, ivre de bonheur.

Carnets d'un globe-plongeur

Tout un monde qui palpite, des rencontres passionnantes et des impressions intenses pour le voyageur, le découvreur ou l’inventeur qui sommeille en toi…

Photographier sous l'eau

Une œuvre collective, dont les auteurs sont parmi les meilleurs photographes subaquatiques français, avec toute la richesse que cela représente, essence même de la longue expérience de la Commission Nationale Audiovisuelle de la Fédération Française d’Etudes et de Sports Sous-Marins. Un ouvrage de référence s’il en est, sans conteste le plus complet et le plus important réalisé jusqu’alors dans ce domaine. Une bible de l’image sous-marine, qui aborde de nombreux thèmes et ouvre des horizons nouveaux à ce jour, rarement développés dans un livre d’enseignement de la photographie subaquatique. Il propose une méthode d’apprentissage chargée d’accompagner le lecteur pas à pas dans son évolution. Il permet de découvrir les techniques et l’art de cette photographie d’une façon progressive. Cette publication, richement illustrée de plus de 700 photographies, s’adresse à tout public, du photographe débutant au photographe le plus averti. Un outil indispensable pour l’apprentissage, le perfectionnement ou la maîtrise des connaissances en photographie sous-marine, il est aussi l’actuel support pédagogique complémentaire des nombreux stages organisés par la Commission Nationale Audiovisuelle.

Immersion à Sormiou

L’amour d’un lieu exceptionnel à deux pas de Marseille. La rencontre de deux passionnés, par leur calanque, la nature, la mer, la photographie et l’écriture. L’envie de témoigner, de partager, de protéger. Le devoir de mémoire également. Pour toutes ces raisons, les auteurs se sont impliqués intensément. Pas uniquement pour les paysages que l’on dit magiques mais aussi pour les gens qui peuplent Sormiou, qui la font vivre et lui donnent une âme sans laquelle cette calanque, qui ne laisse personne indifférent, ne serait qu’une simple carte postale. Les images montent, les écrits expliquent et le cœur rassemble. Dans touts les cas, c’est une belle aventure autour d’un site que le passé a marqué de ses empreintes et où l’on entend encore de très belles et sympathiques histoires… Alors, ce livre sur Sormiou, tout simplement parce que Sormiou existe et existera toujours. Dans le cœur des hommes.

Les grandes gueules de la mer

La bouche (encore dénommée cavité buccale ou cavité orale), partie du corps visible et intime à la fois, est l’ouverture par laquelle la nourriture entre dans le corps, mais elle n’est pas que cela. Elle est chargée de tous les symboles. Chez l’humain ou l’animal, elle nourrit ou agresse, protège quelquefois, détruit souvent. La bouche est habituellement située au niveau de la tête encore que les planaires font exception puisque chez eux, on la retrouve sous leur ventre. Certains animaux, comme les cestodes vivant à l’intérieur du système digestif de leur hôte n’ont plus besoin d’en posséder une. Sa forme, très variée chez les poissons, rend cet organe particulièrement intéressant à observer et donc à photographier. Les dents qui la bordent et servent à attraper les proies, ne sont pas dénuées d’intérêt non plus. La nourriture subit un début de trituration dans l’œsophage et le broyage des aliments se fait essentiellement dans l’estomac. Mais lorsque cette bouche se dilate, s’ouvre grandement jusqu’à devenir démesurée par rapport au corps de l’animal, alors nous nous interrogeons : Un bâillement d’ennui, une posture intimidante, un sourire séduisant ou une simple envie ? Le mystère persiste, encore que les biologistes ont une petite idée… Même les plus petits peuvent l’ouvrir grand. Peu importe. Laissons notre imagination vagabonder pour le seul plaisir de l’observation animale et celui de partager avec vous. Sans oublier un zeste d’humour indispensable à la curiosité scientifique, à la découverte et à la connaissance de l’autre. Des passionnés vous offrent ici quelques images originales, rares ou impressionnantes. A vous maintenant, plongeurs, photographes, naturalistes, stomatologues, otorhinolaryngologistes, chirurgiens-dentistes ou simples admirateurs du monde sous-marin de chercher vos propres sujets, d’ouvrir grand vos yeux et de vous armer de patience. ici un petit poisson clown, un mérou coloré, là un ptéroïs ou une murène de belle taille, un superbe requin blanc ou une séduisante raie manta, tous à un moment, vont ouvrir leur gueule. Alors, soyez-là !

Une autre vision

L’œil face à l’image : il est possible de résumer la quête de Jean-Paul Courchia et d’Henri Eskenazi, deux scientifiques, deux artistes qui s’interrogent sur l’art. C’est par un abord rationnel mais aussi ludique, que la rencontre des deux auteurs a permis la prise de conscience de nombreux points communs, dans deux disciplines aussi différentes que sont la peinture et la photographie sous-marine. Dans cet ouvrage illustré de nombreux tableaux et photographies personnelles, nous comprenons comment l’œil analyse une toile ou un cliché, grâce aux mouvements oculaires qui sont une succession de fixations, pauses de 200 millisecondes, et de saccades, mouvements rapides, qui permettent de passer d’une fixation à l’autre. Le cerveau, riche de ses aires spécifiques, aide à parcourir le monde qui nous entoure, mais nous trompe aussi, modifiant certaines perceptions aussi bien sous l’eau que sur la toile. Nous découvrons qu’il ne faut que quelques secondes pour apprécier ou non une œuvre d’art et que, si l’artiste est habile, il nous dirige dans son œuvre là où il le désire. Les deux amis d’enfance retrouvés, nous montrent à travers des anecdotes vécues, que l’instant magique, sensation de puissance qui s’efface rapidement, existe dans les deux disciplines. Quelle est valeur réelle d’une œuvre d’art ? Si une boîte de 30 grammes d’excrément est estimée à 124 000 $, alors tout est permis. A droite ou à gauche ? Comment construire sa composition, qui relève le défit du format et de la volonté de sortir des sentiers battus. Savez-vous qu’une pointe de rouge sur une voile ou une tache blanche sur un poisson peut modifier votre rencontre avec l’ensemble du travail artistique ? Imaginez-vous qu’une des questions les plus fréquemment posées aux peintres lors des vernissages, est relative au temps passé pour la réalisation d’une toile ? Un carré blanc ou un fond bleu sont-ils des œuvres d’art ? Après la lecture de ce livre, vous ne verrez plus voler les avions avec le même regard… Grâce à la clarté du propos et aux nombreuses illustrations, vous pouvez naviguer ici librement entre les chapitres, à travers mers et toiles, juste pour le plaisir d’apprendre.

La Magie du Minuscule

Souvent l’on se pose la question du rapport entre l’infiniment grand et l’infiniment petit, entre le puissant éléphant et la petite coccinelle rouge, entre la majestueuse baleine et le plancton fluorescent… Entre Tyché et les quarks ? Le monde normal, le monde des « grands », est observable aisément, sans effort. Il est là devant nous, il fait partie de notre quotidien. Alors que le monde des « petits » lui, on le côtoie à chaque instant, mais sans y prêter véritablement attention. Pourtant, il est magique ! L’immensité des terres et celle des mers, nous sont familières. Mais cette nature est en fait composée d’une incroyable multitude d’espèces, dont certaines, pour nous humains incapables de les voir, sont totalement inconnues. Tous ces minis organismes cohabitent, plus ou moins pacifiquement, sur un terrain qui leur est propre, sur les fleurs, dans les plantes, en haut des arbres, sous terre, sous l’eau ou dans les airs, s’adaptant à leur biotope. La « macro photographie » permet de découvrir cet univers fascinant, trop souvent méconnu, négligé et si éphémère. Pourtant, ces « animaluscules » sont nécessaires à la survie de notre planète telle que nous la vivons actuellement. Pour exemples, la pollinisation, les coraux, le plancton… Toute cette petite vie si variée et si bien organisée, à force de multiples observations, nous apparait esthétique car composée d’une variété incroyable de formes et de couleurs. Certaines espèces ne possédant bien évidemment pas la beauté d’autres, mais leur attitude prête tellement à sourire. Alors, soyons indulgents ! Il est bon de se souvenir que ce monde existe et qu’il est magnifique. Il a sa place au même titre que nous et on se doit de le respecter. Merci. Que la nature soit !

Le voyage immobile

Ceci est un jeu. De mots. D’images. De correspondances. Des photographies d’un côté et des textes de l’autre. Vous pouvez apprécier la photo et la regarder davantage ; si elle vous inspire, vous pouvez transcrire votre propre ressenti avec d’autres mots que ceux avancés ici en canevas, tels des poèmes soumis modestement à votre critique. Seule contrainte : respecter la règle des 17 syllabes et tenter d’égaler, voire dépasser, les maîtres japonais et occidentaux du Haïku. Ce livre prend les idées habituellement reçues à l’envers. Pourquoi illustrer des textes par des images et non l’inverse ? Des prises de vue qui invitent au voyage ; à imaginer des suites d’expressions pour restituer les sentiments induits par le photographe. Puis à les illustrer avec des mots. Cela donne un recueil de photos illustrées de textes en trois lignes de 5, 7 et 5 syllabes en plus de la légende. C’est un jeu qui peut se pratiquer seul ou en groupe, à la recherche de la bonne formule pour exprimer des idées, l’évanescence des choses, une émotion, un instantané comme l’est la photographie. Les lecteurs qui s’aventurent dans cette quête du mot juste peuvent dépasser l’intention artistique du photographe qui a capté sa prise de vue en une fraction de seconde, de façon consciente ou inconsciente, pour un rendu quelquefois meilleur que ce qu’il pensait avoir saisi dans l’instant. Pourquoi cette image et pourquoi ce texte? Quel intérêt pour le lecteur à qui ils sont imposés ? A lui de lui donner un sens autre que celui que les auteurs de cet ouvrage pensaient pouvoir obliger. La combinaison des regards croisés entre le photographe et le rédacteur est proposée aux lecteurs afin de créer leurs propres et ainsi, de les inciter à s’engager. Voyageurs, à vous de jouer !

Mes MOTS sans les MAUX

Savoir, c’est le devoir d’apprendre et de comprendre.

Surprises sous-marines

Le photographe sous-marin puise son inspiration dans le secret des océans mystérieux. Depuis que je plonge, fasciné par cette apesanteur, je saisis les couleurs des fonds marins comme le regard d’un peintre prolongé de son pinceau, entre rigueur et rêve. Cette impression est immédiate dès l’interface liquidienne franchie, mais elle laisse, à jamais, un souvenir profond. La photographie a ce pouvoir inégalé de figer l’instant éphémère et d’en restituer les subtiles sensations avec un perfectionnisme frisant l’obsession : est-ce cela l’ivresse des profondeurs ?… Tout a commencé, il y a plus de trente ans lorsque, happé par la mer, j’ai décidé de mieux la connaître. De plongées en voyages, de photos en souvenirs, je me suis intéressé à elle et elle m’a apprivoisé sans préméditation consciente. Et, bien au-delà de la surprenante beauté de la nature vivante, l’émotion me saisit à chaque instant : exubérance joyeuse d’un enfant gâté. Rapporter l’image pour aller à l’essentiel. Je vis ainsi une passion débordante qui ne cesse de m’émerveiller et que j’adore partager ou faire partager. Sans modération.

NATURE sauvage

Longtemps, la mer a été perçue comme une étendue aux capacités de régénérescence illimitées. Aujourd’hui, nous savons que c’est un espace fragile, aux ressources épuisables. Pourtant, l’océan reste un fantastique vivier d’histoires, d’inspirations et de sensations. Nous devons inventer un nouvel art de vivre et de faire vivre la mer, basé sur des valeurs fondamentales tels le respect, la solidarité et l’ouverture. Nous dépendons tous de la mer, mais son avenir dépend aussi de nous tous. Les océans assurent les échanges vitaux de la planète, à l’instar des forêts qui en sont les poumons. Des populations importantes d’animaux marins, poissons ou mammifères, sont soumises à une pression élevée de la part des activités humaines. Au nombre de facteurs de stress figurent, entre autres, certaines techniques de pêche, l’urbanisation, la pollution les collisions avec les navires ou les activités, mal contrôlées, d’observations des cétacés. Essayons juste de rester vigilants…

VITReAUX DE MER

La nature seule est art à part entière. Elle n’a point à se justifier de tant de beautés fragiles. Alors la nature sous-marine est peinte ici, avec un regard de photographe comme seul pinceau. Suspendu à des pages telles autant d’œuvres uniques, le peuple de la mer renaît, plus abstraitement et dans l’anonymat de l’infime détail : celui d’un monde où le rêve et l’imagination sont lois. Les pupilles se dilatent, les iris s’obstinent en quête de l’inconnu qui bouleverse toute logique, en chavirant l’esprit : « Qu’est-ce ? » Des couleurs vives. Des contrastes. Des lumières indécises. Surtout ne pas tenter d’expliquer l’inexplicable. Juste goûter intensément le plaisir d’y être. « Où ? » Peu importe. Seul l’impact visuel compte. L’image avant tout ! Ainsi, homme ou poisson, sage ou fou, infiniment comblé par l’eau, on peut choisir sa vie…